Evitez d’écrire votre mémoire avec le seul jargon utilisé par les chercheurs. Le but est qu’il soit lisible et compréhensible par tous. Pensez donc à expliquer vos schémas, les mots « barbares », les tableaux, bref tout ce qui ne peut être compris par le plus grand nombre. Votre mémoire doit pouvoir être accessible à tous !
Elles obligeraient votre lecteur à s’y prendre à plusieurs fois pour comprendre le sens de votre phrase, ce qui n’est pas agréable.
Soyez bref et concis ! Un texte clair sera plus apprécié et votre lecteur (qu’il soit jury ou amateur) accrochera plus à vos idées. Une règle basique à suivre : 1 idée par phrase !
Un mémoire de fin d’études est avant tout un écrit scientifique, dont les fondements sont théoriques et la méthodologie rigoureuse. Donner un avis trop personnel peut donc vous nuire.
Il ne s’agit pas de recopier une formule qui fait mouche dans tel ou tel ouvrage. Encore faut-il pouvoir l’expliquer et la commenter. Pas de plagiat, mais des commentaires analysés et des théories acquises ! Vous devez être capable d’expliquer lors de votre soutenance chacune des idées développées.
Un mémoire de fin d’études suppose que vous fassiez un travail d’analyse et que vous fassiez preuve d’esprit critique par rapport à ce que vous avez lu. Argumentez donc votre propos, sans jugement de valeur une fois de plus, et ne recopiez pas bêtement les passages des manuels.
Avoir des idées ? Oui ! Etre capable de faire un travail de recherche très approfondi ? Oui ! Mais avoir des idées et les retranscrire sur le papier avec des fautes ? Non !!! Pensez donc à vous relire, à utiliser un dictionnaire, afin de supprimer les fautes d’orthographe et de grammaire de votre mémoire.
Les différentes parties de votre mémoire ne doivent pas se succéder sans lien logique. Chaque partie ou sous-partie de votre travail de recherche doit s’enchainer de façon logique et naturelle, pour que votre lecteur puisse suivre facilement l’avancée de votre mémoire et la progression de vos idées.
Alors, je, nous ou on ? La réponse serait plutôt aucun des 3. Si, le « je » peut paraître prétentieux, le « nous » lui rend pompeux. Quant au « on », il renvoie une image imprécise et impersonnel. Alors, utilisez ces pronoms personnels avec modération et tournez vos phrases de façon à ne pas les utiliser. Un gros travail de rédaction mais qui finalement vous évitera bien des lourdeurs.
Pour en savoir plus, consultez nos prestations d’aide à la reformulation ou à la correction de mémoire, ainsi que nos tarifs reformulation / correction de mémoire.
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